Monday, May 2, 2011
Real picture of Ben Laden DEAD!!!!!
Sunday, March 20, 2011
Le Colonel SARKHAFI
Pour la paix, pour la justice, pour les droits de l’homme, pour les affaires, pour la démocratie, pour la patrie, pour le droit des peuples, pour la notoriété, pour la liberté, pour le pouvoir, pour le pétrole, pour faire plaisir à sa femme, pour l’écologie, pour l’économie, pour monopoliser le petit écran, pour imiter les américains, pour tous les marchands d’armes, pour la patrie, pour les droits de la femme, pour mieux partager le gâteau, pour l’égalité, pour sa poche, pour apaiser ses frustrations, pour la croissance, pour la droite, pour l’extrême droite, pour faire plaisir à Israël, pour les prochaines élections, et pour tous les enfants de la planète, le COLONEL SARKHAFI (qu’Allah le bénisse) a décidé de mener une guerre sans merci. Remercions-le du fond du cœur.
Wednesday, March 16, 2011
Il n’y a jamais eu de révolutions… au Liban
Le 14 Mars 2005, les mouvements de protestations contre l’occupation syrienne au Liban ne furent pas une simple initiative populaire provoquée par la mort de Rafic el Hariri. Cette manifestation, guidée par les puissantes familles Hariri, Gemayel Joumblatt et autres, ont mené au départ de troupes syriennes puis à l’ouverture d’une ambassade syrienne au Liban.
Actuellement, le régime en place, qu’il soit majoritairement constitué des membres du 8 Mars (Hezbollah, Aoun et autres sbires…) ou du 14 mars (Hariri, Gemayel and co), qu’il soit pro-syrien, pro-saoudien, pro-américain, pro-iranien (liste non exhaustive) est toujours le même depuis 1989 (que dis-je ? depuis 1975… que dis-je ? depuis 1943 !).
Disons que depuis les accords de Taëf, Hariri, Gemayel, Aoun, Joumblatt, Hezbollah, Berri (et quelques autres sous fifres) représentent le paysage politique libanais.
Or, d’après le dictionnaire, une révolution est un « changement brusque et violent dans la structure politique et sociale d'un État, qui se produit quand un groupe se révolte contre les autorités en place et prend le pouvoir. »
Si le 14 Mars 2005 avait été une « révolution des cèdres » (quel poète se cache derrière ce grotesque nom ? qu’importe, qu’on le lapide !), une nouvelle classe dirigeante aurait émergé de ce mouvement et l’ancien régime sectaire, communautaire, confessionnel et féodale aurait été aboli. A l’heure où je tape ces quelques mots sur mon clavier Qwerty fabriqué en chine par un pékinois sous payé père de 12 enfants, (le 16 mars 2011, 12h07 heure locale libanaise), le Liban croule sous ces 18 confessions et son système électoral archaïque.
Les seules initiatives (véritablement) populaires sont les manifestations anti-confessionnelles (Laïque Pride ou anti-sectarianism group) qui ont pris naissance sur facebook de façon spontanée sans recours aux onéreuses campagnes publicitaires propagandistes.
PS: Vous aurez remarqué que la photo n'a rien avoir avec le texte, simple stratégie marketing visant à vous inciter à lire le texte.
Tuesday, January 19, 2010
The Militarization of Emergency Aid to Haiti: Is it a Humanitarian Operation or an Invasion?
Global Research, January 15, 2010
Haiti has a longstanding history of US military intervention and occupation going back to the beginning of the 20th Century. US interventionism has contributed to the destruction of Haiti's national economy and the impoverishment of its population.
The devastating earthquake is presented to World public opinion as the sole cause of the country's predicament.
A country has been destroyed, its infrastructure demolished. Its people precipitated into abysmal poverty and despair.
Haiti's history, its colonial past have been erased.
The US military has come to the rescue of an impoverished Nation. What is its Mandate?
Is it a Humanitarian Operation or an Invasion?
The main actors in America's "humanitarian operation" are the Department of Defense, the State Department and the U.S. Agency for International Development (USAID). (See USAID Speeches: On-The-Record Briefing on the Situation in Haiti, 01/13/10). USAID has also been entrusted in channelling food aid to Haiti, which is distributed by the World Food Program. (See USAID Press Release: USAID to Provide Emergency Food Aid for Haiti Earthquake Victims, January 13, 2010)
The military component of the US mission, however, tends to overshadow the civilian functions of rescuing a desperate and impoverished population. The overall humanitarian operation is not being led by civilian governmental agencies such as FEMA or USAID, but by the Pentagon.
The dominant decision making role has been entrusted to US Southern Command (SOUTHCOM).
A massive deployment of military hardware and personnel is contemplated. The Chairman of the Joint Chiefs of Staff Admiral Mike Mullen has confirmed that the US will be sending nine to ten thousand troops to Haiti, including 2000 marines. (American Forces Press Service, January 14, 2010)
Aircraft carrier, USS Carl Vinson and its complement of supporting ships has already arrived in Port au Prince. (January 15, 2010). The 2,000-member Marine Amphibious Unit as well as and soldiers from the U.S. Army's 82nd Airborne division "are trained in a wide variety of missions including security and riot-control in addition to humanitarian tasks."
In contrast to rescue and relief teams dispatched by various civilian organizations, the humanitarian mandate of the US military is not clearly defined:
“Marines are definitely warriors first, and that is what the world knows the Marines for,... [but] we’re equally as compassionate when we need to be, and this is a role that we’d like to show -- that compassionate warrior, reaching out with a helping hand for those who need it. We are very excited about this.” (Marines' Spokesman, Marines Embark on Haiti Response Mission, Army Forces Press Services, January 14, 2010)
While presidents Obama and Préval spoke on the phone, there were no reports of negotiations between the two governments regarding the entry and deployment of US troops on Haitian soil. The decision was taken and imposed unilaterally by Washington. The total lack of a functioning government in Haiti was used to legitimize, on humanitarian grounds, the sending in of a powerful military force, which has de facto taken over several governmental functions....
L’histoire qui « lie » les États-Unis à Haïti
Mondialisation.ca, Le 17 janvier 2010
Dans sa déclaration sur le tremblement de terre d’Haïti, le président américain Barak Obama a parlé de la « longue histoire qui lie [nos deux pays] ». Ni lui ni les médias américains ne se sont cependant montrés très enclins à regarder de près l’histoire de ces relations et son influence sur la catastrophe que doit actuellement affronter le peuple haïtien.
On présente comme une situation naturelle et même comme la faute des Haïtiens eux-mêmes l’état d’arriération et de pauvreté du pays ayant joué un rôle si important dans la multiplication des victimes. Celles-ci se comptent en dizaines et peut-être même en centaines de milliers. Les Etats-Unis sont présentés comme des bienfaiteurs, prêts à venir en aide à Haïti avec des dons, des équipes de secours, des navires de guerre et des Marines.
Un éditorial cynique et malhonnête du New York Times de jeudi commence ainsi : « Une fois de plus le monde pleure avec Haïti » ; ce pays est ensuite décrit comme étant caractérisé par « la pauvreté, le désespoir et le dysfonctionnement qui seraient un désastre partout ailleurs mais qui, à Haïti, sont la norme. »
Et l’éditorial de poursuivre : « Regardez Haïti et vous verrez ce que des générations de mauvais gouvernement et de conflit politique font à un pays. »
Dans un article destiné à montrer les dessous du désastre haïtien, le New York Times dit encore que ce pays « est connu pour ses nombreux malheurs qui sont le produit de l’homme – sa grande misère, ses conflits politiques internes et sa propension à l’insurrection ».
Dans un court éditorial plus dédaigneux encore, le Wall Street Journal célèbre le fait que c’est l’armée américaine qui va jouer le principal rôle dans la réaction de Washington au tremblement de terre, ceci étant « un nouveau rappel que l’étendue de la puissance de Washington correspond à l’étendue de sa bonté ».
Il poursuit en faisant une comparaison indécente entre le tremblement de terre d’Haïti et celui qui a frappé le sud de la Californie en 1994 et au cours duquel sont mortes soixante-douze personnes. Le journal déclare que « la différence réside dans la fonction d’une société créatrice de richesse et respectueuse de la loi qui peut se permettre, entre autres choses, les dépenses liées à de véritables normes de construction ».
Le message est clair : s’ils ont à déplorer des centaines de milliers de morts et de blessés, les Haïtiens n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes car ils n’ont pas su créer des richesses suffisantes et ils ont manqué de respect vis-à-vis de la loi et de l’ordre.
Ce qu’on cache délibérément à l’aide de cette comparaison c’est le rapport véritable qui s’est établi en plus d’un siècle entre la « création de richesse » aux Etats-Unis et la pauvreté d’Haïti. C’est là un rapport basé sur l’usage de la force à la poursuite des intérêts prédateurs de l’impérialisme américain dans un pays opprimé au cours de l’histoire.
Si l’administration Obama et le Pentagone réalisent les plans rapportés dans la presse de déployer un corps expéditionnaire de Marines à Haïti, ce sera la quatrième fois en quatre-vingt quinze ans que les forces armées américaines auront occupé cette nation appauvrie des Caraïbes. Cette fois-ci encore, l’objectif principal d’une telle opération militaire sera de défendre les intérêts des Etats-Unis et de se prémunir contre ce que le Times appelle la « propension à l’insurrection », plutôt que d’aider le peuple Haïtien.
La nature de ces relations remonte à la naissance d’Haïti en tant que première république noire indépendante en 1804 et qui fut le résultat d’une révolution d’esclaves dirigée par Toussaint Louverture et de la défaite ensuite d’une armée française envoyée par Napoléon.
Les classes dirigeantes du monde n’ont jamais pardonné à Haïti sa victoire révolutionnaire. Haïti fut soumise à un embargo international dirigé par les Etats-Unis qui craignaient que l’exemple haïtien n’aille inspirer une révolte similaire dans les Etats esclavagistes du Sud. Ce ne fut qu’avec la sécession du Sud et la Guerre civile que le Nord reconnut Haïti – quelque 60 ans après son indépendance.
Au début du vingtième siècle, Haïti passa sous la domination des Etats-Unis et des banques américaines, dont les intérêts furent défendus par l’envoi des Marines et une occupation de plus de 20 ans, maintenue au moyen d’une répression sanglante de la résistance haïtienne.
Les Marines ne quittèrent l’île qu’après avoir réalisé une « haïtianisation » -- comme le New York Times l’appela à l’époque – de la guerre contre le peuple haïtien en construisant une armée vouée à la répression interne.
Par la suite, Washington appuya la dictature des Duvalier qui dura trente ans et commença avec l’arrivée au pouvoir de Papa Doc en 1957. Des milliers d’Haïtiens moururent aux mains de l’armée et des redoutés Tontons macoute mais l’impérialisme américain considérait cette dictature meurtrière comme un rempart contre le communisme et la révolution dans les Caraïbes....
Sunday, January 3, 2010
NOAM CHOMSKY: “Gaza: One Year Later”
On December 27, 2008, Israel began one of the bloodiest attacks on Gaza Since 1948. The three week assault killed some 1400 Palestinians and 13 Israelis. One year later, little to no rebuilding has taken place and the siege in Gaza continues.
Speaking in Watertown, Massachusetts on December 6, 2009, linguist and social critic Noam Chomsky delivered a talk entitled “Gaza: One Year Later.”
Thanks to Robbie Leppzer for filming this event.
The Lebanese Laïque Pride
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"They did not know it was impossible, so they did it."
Mark Twain
I am a lebanese citizen,
I am against the interference of religion in the functionning of the State,
I want a civil status unrelated to religious identities (birth certificate, identity documents, mariage, divorce, funerals etc.),
I demand to be recognized regardless of my religious convictions,
I require a State where law doesn't find its legitimacy in religious precepts and where the exercise of political power would not be determined by the belonging of a religious group,
I believe in democracy, freedom of speech and opinions.
A lot of us defend the idea of a non-confessional and non-religious State in Lebanon... Let us prove we exist.
ON SUNDAY APRIL 25- 2010, AT 11 AM, we will be marching together for secularism.
Let us make ourselves heard!
Every citizen, institution, organization, association..., whether in Lebanon or abroad, who supports the principle of secularism is invited to participate in this gathering as a free, responsible and independent member.
Please inform all those around you (friends, family, religious, non-religious), they should have the choice to be there if they want to.
The meeting point and itinerary are yet to be announced.
IMPORTANT! THIS IS A CITIZENS' MOVEMENT THAT SHALL REFUSE TO BE SEIZED BY POLITICS.
Organisation team: Saïdou Chaitou, Alexandre Paulikevitch, Yalda Younes, Kinda Hassan, Nasri Sayegh.
Contact us: leblaique@gmail.com
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"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait."
Mark Twain
Je suis un(e) citoyen(ne) libanais(e),
Je suis contre l'intervention de la religion dans le fonctionnement de l'État,
Je voudrais un état civil independant de toute identité religieuse (certificat de naissance, documents d'identité, mariage, divorce, funérailles etc.),
J'exige d'être reconnu indépendamment de mes convictions religieuses,
Je demande un État où la loi ne tire pas sa légitimité d'une conformité à des préceptes religieux et où l'exercice du pouvoir politique n'est pas conditionné par l'appartenance à un groupe religieux,
Je suis pour la démocratie, pour la liberté d'expression et d'opinions.
Nous sommes nombreux à défendre l'idée d'un État non-confessionnel et non-religieux au Liban... Prouvons que nous existons.
LE DIMANCHE 25 AVRIL 2010, à 11H, nous marcherons ensemble pour la laïcité.
Faisons-nous entendre!
Tout citoyen, institution, organisation, association..., au Liban ou ailleurs, qui soutient le principe de la laïcité est invité à participer à ce rassemblement d'une manière libre, responsable et indépendante.
Merci d'informer ceux qui vous entourent (amis, famille, croyants, non-croyants...), ils devraient avoir le choix d'y être s'ils le souhaitent.
Le lieu du rendez-vous et l'itinéraire sont à préciser ultérieurement.
IMPORTANT! CECI EST UN MOUVEMENT CITOYEN QUI REFUSERA TOUT RÉCUPÉRATION POLITIQUE.
Équipe organisatrice: Saïdou Chaitou, Alexandre Paulikevitch, Yalda Younes, Kinda Hassan, Nasri Sayegh.
Contactez-nous: leblaique@gmail.com
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